date: mercredi 20/03/1985 (9 ans) lieu: Colombes
C'est la récréation. On s'amuse dans la cour, mais ce n'est pas un jeu pas dangereux, une farandole. Nous sommes une dixaine d'enfants à nous tenir la main et à courir entre les piliers du préau, et je suis au bout de la farandole. Le groupe frôle un des piliers carrés en béton, entraîné par l'élan, je tape le haut du crâne sur le coin du poteau. Je m'attends à avoir une bosse, ça m'arrive souvent de prendre des coups. Sauf, que là mon crâne est tout collant. Je regarde ma main, qui est pleine de sang. Les copains appellent la maîtresse, et je suis pris en charge tout de suite à l'infirmerie. On me met un bandage improvisé tout autour de la tête, et j'arrive à la cantine pour le déjeuner. Tout le monde me regarde, car j'ai l'air estropié. Finalement, ma mère vient me chercher pour m'amener à une clinique et poser les points de suture. (écrit le: 2011-07-20) catégorie: santé - année: 1985
date: jeudi 30/04/1987 (11 ans) lieu: St-Leu-la-forêt
Je suis malade. Il faut que je prenne les médicaments que m'a prescrit le médecin. Ce sont des comprimés ronds et blancs, avec un goût amer. Sauf que je n'ai aucune envie de les manger, et je n'arrive pas à les gober. Pour ne rien arranger, il faut en prendre matin et soir. Le soir, ça va, mais le matin... tout le monde est pressé de partir. Ma mère a trouvé une astuce: les concasser et les mélanger à du Nutella. Il faut bien que je les avale après tout. Ce petit jeu va durer quelques jours, le temps indiqué sur l'ordonnance. Le problème c'est que le goût du chocolat à tartiner va me rappeler ces médicaments toute ma vie... (écrit le: 2012-04-22) catégorie: santé - année: 1987
date: lundi 05/09/1988 (12 ans) lieu: Ermont
J'ai la dentition de travers. Mon sourire...ce n'est pas vraiment ça. Pour éviter à mes dents de se chevaucher, de pousser dans tous les sens, ma mère insiste pour prendre rendez-vous chez l'orthodontiste. C'est un soin qui est pris en charge jusqu'à 16 ans. Après cela, il est beaucoup plus difficile de faire bouger l'implantation des dents car la croissance est terminée. Ce dentiste va me poser des bagues en haut et en bas, reliées entre elles avec des fils très solides. Ces appareils sont en acier très coupant, et j'ai souvent du sang dans la bouche. Je me souviens que mes brosses à dents avaient une durée de vie très courte avec ce genre d'obstacle sur leur chemin! En plus de cela, il faut que je porte un appareil (de torture) toutes les nuits. Sur mes dents du fond, il y a des petits supports pour faire entrer un arc métallique relié à des élastiques et à une sorte de serre-tête. Il faut changer les petits élastiques toutes les nuits, car ils perdent rapidement de leur efficacité. Un jour sur deux, l'appareil tire les dents du bas, le lendemain, les dents du haut. Ça tire tellement fort que la douleur irradie dans tout le crâne. Évidemment, je ne dois pas me retourner la nuit sous peine de voir l'appareil se décrocher, ce qui signifie devoir le réinstaller dans le noir... Et si je rate le petit tube dans lequel se loge la tige en acier, je me rentre les bouts métalliques dans les gencives. J'oublie de dire qu'il est impossible de parler avec un tel attirail sur la tête. J'ai cru comprendre que pour faire avouer leurs secrets à leur prisonniers, des hommes de guerre s'attaquaient aux dents, c'est ce qui fait le plus mal. Sauf que je n'ai rien à avouer, à part que j'en ai assez de tout cet attirail. Régulièrement, je passe à Ermont pour que ce médecin regarde l'avancement du travail de traction sur mes dents du fond. Dans la salle dauscultation, il y a trois ou quatre sièges côte à côte, et le dentiste passe d'un patient à l'autre sans changer de gants. Je suis souvent réprimandé, car le résultat ne le satisfait jamais, signe que je n'ai pas suffisamment fait d'effort avec l'appareil. Je lui réponds difficilement: « Veu fui désolé », alors qu'il garde un doigt dans ma bouche. Les visites chez les dentistes où je suis allé par la suite m'ont semblé de véritables parties de plaisir...même la roulette est comme une caresse. (écrit le: 2012-01-29) catégorie: santé - année: 1988
date: mardi 05/09/1989 (13 ans) lieu: St-Leu-la-forêt
Mes genoux me font souffrir. J'ai mal quand je joue au volley-ball, un sport très exigeant avec les articulations. Les plongeons me font de plus en plus peur malgré les genouillères. Je vais voir un médecin, pour me faire prescrire un traitement. Vous avez dit « surmédicalisé »? Le médecin est spécialisé dans le sport. Il va me faire une ordonnance pour une pommade gélifiée à appliquer tous les soirs sur les zones douloureuses. Cette crème transparente a un parfum très fort (probablement à cause du camphre). Ce médecin a une idée très arrêtée sur ce qui provoque ces douleurs: « C'est la circulation sanguine». Il va me demander de prendre de l'aspirine. Une tonne d'aspirine. Je me retrouve à prendre de l'aspégic 500 tous les jours, ce qui fluidifie mon sang. Très utile pour saigner dès qu'on se fait une égratignure. Je ne sais pas si ça m'a beaucoup aidé, en tout cas, ça ne m'a pas évité d'avoir mal aux genoux. Cette histoire m'a servi de leçon. L'adolescence est une période de remise en question des opinions dominantes, surtout celle de nos parents. A partir de cet instant, j'ai compris qu'il n'était pas nécessaire de voir le médecin trop souvent... du moins quand on peut supporter la douleur. (écrit le: 2012-04-22) catégorie: santé - année: 1989
date: mercredi 15/10/1997 (21 ans) lieu: Strasbourg
Depuis plus de cinq ans, je me bats contre les verrues plantaires qui couvrent mes mains. Impossible de s'en débarrasser. Je les coupais aux ciseaux régulièrement quand elles dépassaient un peu trop. Ma mère m'avait amené voir un dermatologue en 1992. Ce médecin détestait faire mal. Il les avait brûlées à l'azote liquide, mais ça n'avait pas résolu le problème. Cette fois, je décide d'aller voir un médecin sur la place de lÉtoile. Je me débarrasserai de ces saloperies coûte que coûte. Ce médecin est très sympathique. Il commence par m'expliquer ce qu'est une verrue. C'est très compliqué, je n'ai rien compris. Par contre, il m'a dit une chose que j'ai retenue: "vous manquez de magnésium". C'est la première fois que j'apprends la relation entre les verrues et le manque de sels minéraux... Il me prescrit des ampoules de Mag2, une sorte de cure. Je vais prendre ces ampoules matin, midi et soir pendant quinze jours. Deux semaines de bonheur... Je me rends compte que je vais mieux, je ne suis plus stressé, je dors bien,... Je ne suis plus angoissé, mes spasmes gastriques s'arrêtent. En fait, mon manque de magnésium est chronique, mais je ne le comprends que quelques semaines après avoir fini mes ampoules. Mes verrues sont toujours là, mais c'est le cadet de mes soucis. Tout ce qui s'était arrangé chez moi redevient comme avant. J'ai même des tremblements quand j'écris et que je suis sous pression. Il me faut du magnésium, sous n'importe quelle forme, c'est une question de qualité de vie, tout simplement. Par manque de temps, je met de côté ce problème, avec l'idée de le résoudre une fois mon BTS en poche. (écrit le: 2013-08-13) catégorie: santé - année: 1997
date: mercredi 15/04/1998 (22 ans) lieu: Strasbourg
Je travaille beaucoup pour atteindre mon objectif, passer mon BTS comptabilité-gestion. En même temps, je continue mon stage de comptable dans la salle de Café-Théâtre qui m'accueille en alternance une semaine sur deux avec l'école. J'ai le sentiment de devoir franchir une barre qui est placée très bas, si je regarde mes compétences en toute objectivité. Mais cette barre pourrait me faire trébucher tant elle est stressante pour moi. Derrière un échec, je n'aurais d'autre choix que de partir au service militaire sans autre diplôme que mon baccalauréat. Je suis bien loin de mes ambitions d'adolescent. Pour éviter de faire un faux pas, je révise mes cours, je rédige mon dossier-mémoire, et je dors très peu. Quand je n'ai pas assez dormi, et que je me concentre sur un écran, je m'expose directement à une conséquence inévitable, la migraine ophtalmique ou migraine "accompagnée". Le cerveau nous joue parfois des tours improbables. J'imagine que les adeptes des paradis artificiels voient aussi toutes sortes de choses défiler devant leurs yeux quand ils se shootent. Voici l'expérience que me provoquent ces migraines... Je ressens d'abord une fatigue oculaire, et une grande sensibilité à la lumière. Ensuite, vient un petit point lumineux clignotant quelque part dans mon champ de vision. Ce point commence à s'étendre comme une tâche, sur laquelle mon regard n'arrive pas à se poser. C'est un peu comme une guirlande de Noël composée de tout petits points de lumière qui clignotent indépendamment les uns des autres. Les médecins appellent cela des scotomes. La tâche s'étend et devient de plus en plus translucide. Même en gardant les yeux fermés, cette pollution visuelle est présente. Inutile de dire qu'à cette étape j'essaye de m'isoler dans le noir et de ne pas trop bouger. On ne voit pas grand-chose et on est un peu déboussolé dans cette situation. Cela m'oblige à arrêter complètement le travail que je suis en train de faire. Ce genre de migraine arrive toujours au moment où on ne l'attend pas. Si on ne peut pas s'enfermer dans le noir, la seule chose à faire est de fixer un objet du regard. Si on nous pose des questions, il suffit d'expliquer la situation, si on y arrive ! Puis la tâche vibrante quitte doucement le champ de vision. C'est là que la douleur commence. Le mal de crâne arrive très fort, comme un étau qui entoure la tête, des vagues lancinantes de pointes enfoncées dans le cerveau. C'est à ce moment que je prends un comprimé d'ibuprofène. En général, ça calme un peu l'inflammation. On est partagé entre la joie de retrouver la vue et la peur de devoir affronter la souffrance physique, on a plus que ses yeux pour pleurer. Ce sentiment ambivalent est très déstabilisant. Les gens qui n'ont pas vécu cette expérience ne comprennent pas ce qui nous arrive. Le corps nous dit stop, et on est las. Toute résistance est inutile, signe que le repos est absolument nécessaire. Je suis hypermétrope, mais je n'avais pas de lunettes de vue. Même quand j'ai eu des lunettes par la suite, si la correction n'est pas bonne, les migraines arrivaient plus souvent. Je me suis demandé si la cause venait de là. Ce type de migraine pouvait arriver fréquemment, une à deux fois par mois. Cela n'arrive probablement que les jours où je n'ai pas assez dormi, mais c'est assez terrifiant. Quand je les sens venir, j'essaye de les empêcher en arrêtant immédiatement de travailler ou de me concentrer. Parfois, ça marche. (écrit le: 2014-10-04) catégorie: santé - année: 1998
date: lundi 20/08/2001 (25 ans) lieu: Houilles
Ma dermatologue m'a détaillé précisément comment faire pour se débarrasser des verrues. Il s'agit d'un plan d'attaque en 3 étapes: brûler, desquamer, râper. Je rajoute deux petites choses: il faut prendre du magnésium, ce qui limite la progression des verrues. Et surtout, il faut aider la peau à cicatriser avec une crème spéciale. Bien sûr, on doit traiter toutes les verrues. Si on en laisse une, il y a un risque que les autres se reconstituent. J'ai suivi les conseils du médecin à la lettre. Il n'y a que la brûlure à l'azote liquide que je ne peux pas faire chez moi, une visite chez la dermatologue est nécessaire. Il a quand même fallu que j'y retourne trois fois. A l'application sur un coton-tige du liquide à -190°, on ne sent rien, c'est quand on rentre chez soi que la peau "vivante" autour de la verrue se réveille, et que ça fait le plus mal. L'application du "Duofilm" réveille la blessure à chaque fois, car ce produit contient de l'acide. Mon plan de bataille est arrivé à bout de ces satanées « choses ». Je n'ai jamais vraiment compris ce que c'était d'ailleurs une verrue: un virus, une algue, un champignon, ou un mélange des trois ? (écrit le: 2012-03-31) catégorie: santé - année: 2001
date: vendredi 05/10/2001 (25 ans) lieu: Le Port Marly
J'avais 4 dents de sagesse à enlever. Ma mère se proposait pour me raccompagner chez moi, sachant quelle épreuve c'était. Les deux premières à gauche sont sorties difficilement, une en haut, une en bas. Lanesthésiant n'était pas assez fort. Pendant que le stomatologue sciait les racines, j'ai eu un mouvement de tête et la scie a coupé quelques nerfs. Résultat, je ne sens plus la moitié de ma langue, définitivement. Quinze jours après, je retourne à la clinique de l'Europe pour les deux dents à droite. Là ça se passe mieux, et j'arrive même à discuter avec le chirurgien après l'opération. Arrivé chez moi, j'enlève les cotons, mais la plaie n'avait pas du tout cicatrisée en bas. Je pisse le sang. Ma mère m'appelle pour savoir comment je vais, mais je n'ai pas été très convaincant, alors elle viens me voir au milieu de la nuit. Je lui dit de ne pas s'inquiéter, et elle s'en va. Entre le sang que j'ai bu, et celui que j'ai craché dans le lavabo, il devait bien y avoir un demi-litre. (écrit le: 2011-07-14) catégorie: santé - année: 2001
date: samedi 15/03/2008 (32 ans) lieu: Paris
J'adorais le café. Mon truc, c'était le café serré, type expresso. J'avais une cafetière de type italienne en acier inoxydable. Le rituel était immuable. Je commençais par verser de l'eau dans la partie basse, puis le café moulu (gardé au réfrigérateur) dans le récipient en métal équipé d'une grille, et enfin je vissais la partie haute destinée à recevoir le breuvage. Je mettais ensuite la cafetière à moka sur la plaque électrique et j'attendais que le précieux liquide remonte par la cheminée sous l'effet de la pression. Ça c'était le matin. Le midi, je buvais le café du bureau, très amer. Parfois, je buvais une tasse à quatre heure. Et parfois, j'arrivais à boire quatre ou cinq tasses par jour. Des effets secondaires difficiles à supporter m'ont incité à arrêter de boire du café. Le week-end, j'avais des sensations de manque si je n'avais pas ma "dose". Des problèmes gastriques se rajoutaient à cela, ainsi qu'une forme légère de tachycardie. C'est décidé, j'essaye de me désintoxiquer, mais je vais boire un peu de thé pour remplacer. le thé contient un peu de caféine, la théine. Pendant les deux premiers mois, j'avais besoin de ma tasse de café, je le ressentais physiquement. Je ne buvais plus de Coca-Cola/Pepsi, car ce genre de soda contient de la caféine. Chaque fois qu'une personne s'approchait de moi un café à la main, je me sentais mal à cause de l'odeur. Par la suite, j'ai eu une forme de dégoût pour le "mauvais" café, les cafetières qui restent branchées toute la journée, ou les gobelets des distributeurs automatiques dans lesquelles restait un peu de ce liquide brunâtre. Au bout de six mois, je n'y pensais même plus. Finalement, j'ai réussi sans problèmes à m'en passer complètement. Ce n'est pas l'addiction la plus difficile à arrêter. J'imagine la galère pour ceux qui sont alcooliques. (écrit le: 2015-07-05) catégorie: santé - année: 2008
date: lundi 15/09/2008 (32 ans) lieu: Paris
En octobre 2007, j'avais besoin de nouvelles lunettes. Celles que je mettais depuis cinq ans étaient démodées. Elles me servaient uniquement au travail, pour corriger mon hypermétropie. Sur les conseils de Philippe, je suis allé voir une ophtalmologue près de la gare St Lazare. Ce médecin donnait des rendez-vous très rapidement, et je ne voulais pas attendre. Cette femme avait la soixantaine, mais elle en faisait moins car son visage était complètement refait. La chirurgie esthétique devait être pour elle une passion, mais il faut avouer que de près le résultat était assez monstrueux. Dans le cabinet où elle travaillait se trouvait également un orthoptiste. Comme par hasard, elle m'a fait une ordonnance pour des séances chez son collègue ! Je n'y suis bien sûr jamais allé. Une autre chose m'avait choqué, c'était la nécessité de payer en liquide. Comme je ne l'avais pas prévu, il a fallu que je descende retirer 60 au distributeur à la fin de la consultation. Je lui avais parlé de mes yeux rouges, une sorte de conjonctivite. Elle m'a fait une ordonnance pour des gouttes de « Cromedil », un collyre antiallergique. Il fallait mettre les gouttes trois fois par jour dans chaque oeil, ce que j'ai fait consciencieusement dans les semaines qui ont suivi. Ce médicament avait eu comme conséquence de rendre ma vue « floue ». Je ne m'inquiétais pas outre mesure, cela devait être normal. Quand la luminosité a commencé à baisser en novembre 2007, je n'arrivais plus à voir clair. De loin, le contour des objets était trouble. Quand je regardais la lune, je ne voyais plus un cercle, mais une ellipse. Au cours d'une visite médicale, à mon travail, j'étais incapable de lire les petits caractères lors du test oculaire. Il n'y avait plus de doute possible, j'allais avoir besoin de nouvelles lunettes. Mais je n'arrivais pas à m'y faire. Pendant le début de l'automne 2008, j'étais dans le déni. J'avais la nostalgie de ma vue perçante, et j'imaginais que j'allais la récupérer comme par magie. Je plissais les yeux pour lire les horaires de départ des trains dans les gares, mais ça ne marchait pas. Moins il y avait de lumière, plus ma vue était brouillée. Incapable de lire les panneaux routiers quand je conduisais la voiture, et très malvoyant la nuit, il fallait bien que je me rende à l'évidence. Je suis allé voir l'ophtalmologue à côté de chez moi (à Houilles) pour qu'elle pose le diagnostic. Elle se rend bien compte que je ne vois pas bien de loin, mais je suis obligé de poser la question pour entendre le mot qui me fait peur: « Je suis myope ? ». Elle acquiesce, et je sais que ça ne va pas me plaire. Porter des lunettes toute la journée, c'est ce qui me chagrine. Ce n'est pas tant le changement d'apparence physique qui me gêne, que le fait de dépendre d'un artifice pour vivre normalement. Cette forme de handicap léger m'éloignait de mon idéal de vie simple et naturelle. J'avais arrêté le café pour cette raison. J'essayais de comprendre pourquoi j'avais perdu ma précision visuelle d'antan, je cherchais des coupables. J'ai fini par accepter cette perte comme un signe des années qui passent. Comment capter ce que mes yeux ne peuvent plus voir « à loeil nu » ? Et si je me remettais à la photographie ? Ce sont autant de questions qui me préoccupaient à cette époque. (écrit le: 2015-07-28) catégorie: santé - année: 2008
les propos tenus n'engagent que son auteur, les souvenirs relatés dans ces anecdotes sont subjectifs | Contactez-moi