Catégorie: 'jouets'

Maquettiste cliquez pour afficher en grand

date: samedi 05/03/1983 (7 ans) lieu: Colombes

On m'a offert un train électrique. Je l'ai mis dans ma chambre. Il y a des petits bâtiments à assembler: gares, maisons, passage à niveau,... Je m'amuse à créer un monde en miniature. On va acheter les boîtes dans un petit magasin à côté de la Bastille. Les maquettes sont de marque Jouef. Il y a de toutes petites pièces à coller les unes aux autres. J'ai beaucoup de mal à ne pas laisser de grosses traces de doigt sur les surfaces plastifiées que la colle a fait fondre. A l'échelle des bâtiments, j'ai de petits personnages: chef de gare, voyageurs pressés, hommes d'affaires en costume...ils sont collés sur le sol. De grosses malles et des fûts sont disposés à l'entrée de la gare de marchandise dont les murs en brique et le toit en tôle ondulée ne tiennent pas ensemble. Ce dont je suis le plus fier, c'est d'une maison de plein pied, avec un grand toit et un salon entièrement décoré couleur caramel. Mon train corail s'arrête à la gare de Bellegarde. Si j’appuie trop fort sur le bouton, il déraille dans les virages, alors il faut remettre les bogies sur les rails une par une. (écrit le: 2012-08-19) catégorie: jouets - année: 1983

Le yoyo Roll'in cliquez pour afficher en grand

date: jeudi 18/04/1985 (9 ans) lieu: Colombes

S'il y a bien un objet que tous les enfants avaient dans leur poche à ce moment là, c'est le yoyo. Il en existait différents modèles (Coca-cola, Sprite et Fanta). Le bord était blanc, et le disque central rouge, vert ou orange. Les plus chanceux avaient une version dont le bord était transparent ou rempli de paillettes. La différence avec les yoyos de nos parents, c'était la ficelle qui n'était pas fixée à l'axe central. Ça permettait de faire des figures, car le yoyo tournait encore, une fois arrivé au bout de la ficelle. Un petit fascicule était livré avec le jouet, pour nous montrer comment faire les dites figures. On voyait aussi des démonstrations à la télévision, chez "Dorothée". Il fallait fixer le bout de la ficelle sur un doigt, de préférence le majeur pour plus d'équilibre, puis démarrer le mouvement. Quand on n'accompagnait pas son déplacement vers le bas ou vers le haut, le yoyo redescendait, puis s'arrêtait assez vite. Tous mes copains avaient au moins un yoyo dans leur sac. Au bout de quelques heures d'entraînement, j'ai réussi à faire le "loop the loop". C'était un peu acrobatique. Il fallait envoyer le yoyo vers l'avant puis le ramener vers soi, le faire passer au dessus de sa main et le faire tourner. Je dois avouer que la plupart du temps, mon mouvement se terminait pas un entortillage de ficelle. Souvent, la rotation n'était pas correcte, et comme le mouvement n'était plus circulaire, le yoyo s'arrêtait tout seul. On passait alors plus de temps à rembobiner la ficelle qu'à jouer... (écrit le: 2012-08-19) catégorie: jouets - année: 1985

les propos tenus n'engagent que son auteur, les souvenirs relatés dans ces anecdotes sont subjectifs | Contactez-moi