Boîtier papillon cliquez pour afficher en grand

date: mardi 15/08/2006 (30 ans) lieu: Carrières-sur-Seine

Nous avions une Renault Clio II depuis quelques années. Achetée en 2004 à Montpellier dans le réseau du constructeur (une occasion collaborateur), ce véhicule de couleur "gris hologramme" n'était pas franchement original. Sans histoires, on avait pas eu de pépins jusqu'à ce jour. Nous l'avions choisie en raison de sa climatisation en prévision de notre voyage à Florence. Lors d'une accélération après le péage de Saint Arnoult, le véhicule n'avance plus. J’appuie sur le champignon, mais rien ne se passe. Les véhicules autour de nous doivent nous éviter de justesse, je dois me ranger sur la bande d'arrêt d'urgence et j'éteins le moteur. Je n'ai aucune idée de ce qui se passe, et la seule chose qui me vient à l'esprit est d'appeler une dépanneuse. Pourtant, j'attends quelques instants, je redémarre et le véhicule accélère normalement. De manière totalement aléatoire, la voiture s'arrête, puis repart. J'imagine que c'est un problème électronique, car le voyant s'allume sur mon tableau de bord pour m'indiquer que l'anomalie vient de là. Difficile de reprendre le volant en confiance après cette mésaventure. Quelques jours plus tard, j'amène la Clio au garage Renault le plus proche. Je sors ma carte Garantie Or et je demande à la secrétaire ce qu'elle peut faire pour moi. Sauf que la garantie de deux ans est dépassée de quelques jours. Il n'y a aucune solution selon elle, à part changer le boitier papillon. Derrière ce nom poétique se cache un dispositif assez complexe, dont la défaillance est connue chez le constructeur. La réparation est coûteuse, plus de 1000 euros. De l'argent bien dépensé, pour rien. Quelques mois plus tard, le problème se reproduit, mais cette fois-ci, je sais que la seule chose à faire est de revendre ce véhicule le plus vite possible. (écrit le: 2016-09-11) catégorie: voiture année: 2006

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